

À passé 50 ans, il se lance dans l’écriture d’un premier roman (non encore publié), qu’il délaisse pour entamer « Rome est une femme », hommage à une ville qu’il aime particulièrement. « J’ai toujours su que je ferai quelque chose de mon goût pour cette cité », dit-il. « Au carrefour du temporel et du spirituel, du divin et du terrestre, du contemporain et de l’Antique, Rome est le décor idéal pour un polar car elle autorise des intrigues qui traversent le temps et l’espace. Et le choix de la période de l’entre-deux guerres permet d’évoquer des thèmes actuels. »
Ses études de psychologie achevées, il se lance dans le journalisme pour satisfaire sa curiosité des choses du monde et des ressorts intimes des choix individuels. Il travaille successivement dans un quotidien genevois, en indépendant et pour l’agence de presse nationale suisse, à Berne, puis à Genève.
Parallèlement, il réalise des reportages, durant la guerre des Balkans, en Irak, au Liban ou au Brésil notamment. Il accomplit un mandat pour l’UNICEF en Sierra Leone et en Côte d’Ivoire ainsi que pour l’OSCE comme observateur des premières élections locales en Bosnie en 1997.
Il devient en 2001 le collaborateur d’un homme politique suisse dont il écrit les discours et prépare les interventions médiatiques. Il s’implique dans le projet novateur de vote par internet et créé le premier cours en ligne sur ce thème, parallèlement à diverses publications sur le même sujet.